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01 juillet 2006
JEAN-PIERRE ET NATHALIE : Quand on pourra s'payer une auto...
Acquis chez Easy Cash à Cormontreuil le 23 juin 2006
Réf : DM 50004 M -- Edité par Festival en France en 1964
Support : 45 tours 17 cm
Titres : Quand on pourra s'payer une auto -- Les enfants qui sifflent dans les rues -/- Une fois en passant -- On va se marier
Ça faisait un moment que je n'avais pas eu l'occasion de passer dans ce magasin. Ils l'ont complètement réorganisé, du coup ils ont déplacé les disques, fait un peu de ménage dans le rayon, et rajouté quelques disques au passage.
Je suis tombé tout de suite sur ce 45 tours qui avait l'air intéressant. Du coup j'ai tout fouillé en détails et je suis rentré avec une poignée de 45 tours et même trois CDs intérécents en bon état !
C'est la pochette, le nom des artistes et le titre de la chanson principale de ce disque qui m'ont attiré. Je m'attendais à un truc bien nase, mais quand j'ai vu en retournant le disque que toutes les chansons étaient signées Jean-Pierre et Nathalie, je me suis dit qu'avec un peu de chance, ce serait un disque de variétés un peu au-dessus de la moyenne. Et effectivement, c'est un disque agréable, qui se tient tout à fait.
Les chansons mettent en scène Jean-Pierre et Nathalie comme un jeune couple des années 60, mais apparemment il s'agissait d'un frère et d'une soeur originaires de Nice. Ceci est leur quatrième 45 tours.
Les deux chansons au rythme un peu enlevé, "Quand on pourra..." et "Une fois en passant", passent très bien.
Les paroles de "Quand on pourra..." sont de saison : "Quand on pourra s'payer une auto, on attendra oui tout le temps qu'il faut, mais on la veut belle belle belle comme celle du salon de l'auto. Tous les deux aux beaux jours de l'été - je conduirai - moi je serai à côté, la vie sera belle belle belle, les vacances ont commencé."
"Les enfants qui sifflent dans les rues" est une chanson un peu niaise sur les bords, mais après tout, pas tellement plus niaise que certains des tous premiers titres de Françoise Hardy, aujourd'hui encore révérés.
L'orchestration a quelques accents jazzy tout au long du disque, mais c'est surtout sensible sur "Une fois en passant", avec son intro à la "Fever" et ses accents gospel.
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